Archive des Bibliothèques universitaires de Nantes

Les dispositifs correctionnels à l'école élémentaire

Par : Amara, Donia

Document archivé le : 02/09/2016 00:00

Ma réflexion s'est initiée par rapport à un premier constat que j'ai effectué dans ma classe en analysant les traces écrites des élèves. En effet, j'ai constaté que la majorité de mes élèves ne prenait pas en compte la correction que j'avais pourtant, préparée en amont, et effectuée au tableau en utilisant différents supports visuels. Les échanges avec mes collègues de l'école ou mes tuteurs autour de la correction m'ont permis d'approfondir ma réflexion et d'arriver à un constat : il existe des doutes , chez nombre de collègues, sur la valeur et l'efficacité de cette tâche pourtant bien ancrée dans la tradition. Il y a un intérêt à corriger aussi bien pour stimuler les apprentissages que pour maintenir un cadre éducatif responsable. Cependant, doit-elle occuper l'ensemble des travaux de l'enseignant ?. N'est-elle pas également présente davantage pour les parents que pour l'élève lui-même ? Nous sommes donc face à une dualité qui permet d'évoquer les avantages et les limites de la correction par rapport aux enjeux de l'école. Sachant que la définition même de la correction ramène aux attentes institutionnelles et aux usages traditionnels. Cette analyse réflexive s'articule autour de la problématique suivante : Quels sont les dispositifs qui doivent/peuvent être mis en place afin que la correction constitue un moment d'apprentissage efficace ? Qu'est-ce-que l'erreur doit provoquer chez l'élève et le groupe afin que la classe puisse évoluer et que la correction soit pour l'ensemble des apprenants un moment efficace ?

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